UN LIVRE QUI CHANGERA VOTRE VIE… !
CE LIVRE n’est pas uniquement destiné aux personnes concernées par un deuil, mais bien davantage à celles qui connaissent des épreuves de toutes sortes dans la vie…
TOUTE PERSONNE connaît un jour la souffrance, les deuils, l’échec, le malheur. Pourtant, chaque perte ou chaque mort porte son potentiel de résurrection, car la vie est intelligente et généreuse, prévoyant des mécanismes de défense et d’adaptation et couronnant de bienfaits les épreuves bien surmontées. Ce livre nous propose de lui faire confiance et d’avoir foi en notre propre chemin. Écrit sous forme de variations sur le thème de la renaissance, il en décline toutes les harmoniques en une invitation à laisser s’élever en nous, même dans l’adversité, le merveilleux chant de la vie.
VOICI LA FICHE TECHNIQUE DU LIVRE :
http://mediaspaul.qc.ca/catalogue/renaitre-des-pertes-de-la-vie-8172
Voici le COMMENTAIRE d’un lecteur sur ce livre :
«RENAÎTRE DES PERTES DE LA VIE. Enfin, un vrai livre de chevet. Un livre que l’on peut ouvrir à n’importe quelle page et qui vous insuffle une sérénité instantanée. Il vous captive, vous ressource, vous convainc. Une montée en spirale qui nous happe. Un livre qui entremêle la hâte et la peur d’en terminer la lecture. Écrit de toute évidence sous l’inspiration de l’expérience, chaque mot est trié sur le volet et pèse. Fruit d’une érudition remarquable, d’une faculté instinctive de vulgarisation et de gestion des réseaux conceptuels. Par souci de délicatesse, ce magicien de l’écriture et de la pensée ne craint pas d’adoucir les aspérités de certaines notions plus ardues. Bref, un livre interminable parce qu’il donne constamment envie de le reprendre, un petit bouquin dont on n’arrive pas à se détacher et qui, malgré sa brièveté, vous convie à un parcours immense. À insérer dans sa trousse de survie.»
(Gilles Simard, Ph.D., professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières)
VOICI UN APERÇU DU LIVRE :
Je peux tout. Sentir que l’esprit peut tout! Il veille en moi et sur moi. Mon esprit m’empêche d’être malade, ou seulement fatiguée. Je ne mange guère, je dors à peine. J’ai eu de grands biens : disparus. Je fus très entourée : je suis seule. J’ai tout perdu, mais quand tout a été perdu, l’esprit perd ses chaînes. Je sens en moi la vie infinie et immortelle de l’esprit.
(Anna Pegova, celle qui a créé des traitements de beauté, a écrit ce texte alors qu’elle avait quatre-vingt-douze ans.)
INTRODUCTION
Cette vie qui continue, cette vie qui t’offense,
c’est elle qui sera ta planche de salut.
Christophe André
Vous vous souvenez sans doute de la phrase d’un psychologue bien connu : Aimer, perdre et grandir…? Une phrase qui peut s’appliquer à bien des domaines de la vie : travailler, perdre et grandir; investir, perdre et grandir; boire, se droguer, jouer, perdre et grandir; divorcer, perdre et grandir, etc. Nous pourrions multiplier ainsi les domaines où peut s’appliquer cette dynamique étonnante qui s’appelle renaître des pertes de la vie.
Albert Einstein se posait jadis une question qu’il estimait la plus importante: «L’univers est-il amical ou non?» Question que je reformulerais volontiers en ces termes : le monde dans lequel nous vivons nous donne-t-il notre juste part de gratifications et de bonheur? Je n’ai pas de statistiques, mais j’ai lu quelque part que les événements qui nous déçoivent dans la vie seraient plus nombreux que leur contraire. Dans une vie, la somme des peines dépasserait celle des joies.
Qui n’est jamais victime dans sa vie? Qui ne souffre pas d’abus, d’intolérance, de harcèlement, de haine, d’injustice? Qui n’est jamais victime d’un malentendu? Qui peut affirmer qu’il n’a jamais échoué ou raté quelque chose? On ne sort pas toujours gagnant au jeu de la vie.
En fait, même chez les plus grands optimistes ou jovialistes du monde, je ne peux concevoir une vie avec un parcours parfait, exempt d’erreurs, d’épreuves, de souffrances, de fatigues, de maladies. Le seul fait de vivre, de se maintenir dans l’existence exige déjà des renoncements. En tout temps, même au sein d’un grand bonheur, peuvent émerger des pertes prévisibles ou imprévisibles : mort subite d’un être cher, accident, divorce, congédiement, faillite, échec, chagrin d’amour, feu, raz de marée, vol, etc. À cet égard, personne ne peut nier que la vie est une épreuve. « La vie n’est pas raisonnable », clame le populaire motivologue Jean-Marc Chaput. En effet, le bonheur peut-il être le but de la vie, quand on souffre, qu’une souffrance n’attend pas l’autre, quand on vit dans la perspective qu’on peut tout perdre? Nonobstant cela, peut-on espérer?
« Quand croît le péril, croît aussi ce qui sauve » a écrit le grand poète Friedrich Hölderlin. L’expérience nous enseigne que chaque malheur est accompagné de mécanismes qui sauvent. Il existe, en effet, un tel phénomène dans la vie. Pour pallier les effets négatifs de l’existence, la nature a prévu des mécanismes compensatoires de défense et d’adaptation. Toute personne possède en elle-même le potentiel nécessaire pour redonner un sens ou une signification à son existence quand elle l’a perdue. Toute personne est capable de résoudre ses conflits ou d’apprendre à vivre avec eux. Il est même possible d’atteindre par moment des états de conscience où l’on peut accomplir des miracles. Il n’existe aucun fatalisme que nous ne pouvons conjurer.
L’être humain a la possibilité de façonner sa propre existence et de déterminer ce qu’elle sera. Nous avons le pouvoir de changer le cours de notre destin. Nous possédons les dons nécessaires, les talents, le dynamisme, les aptitudes pour poursuivre notre chemin individuel, libres de nos pas. Aussi faut-il avoir foi en son propre chemin. Certes, nous ne naissons pas avec un itinéraire tracé d’avance qui nous dit où aller et comment nous comporter idéalement dans les diverses circonstances de la vie, mais nous pouvons prêter attention aux signes qui jalonnent notre route.
C’est dans cet esprit qu’est écrit le présent volume. Il se veut une proposition de vie au milieu des difficultés et des épreuves de l’existence. Il vise à redonner à la personne la capacité de rediriger sa vie après l’épreuve. Bien sûr, la coupe de la souffrance et du malheur n’est pas la même pour tous, mais le message pourrait se formuler ainsi : Toi qui souffres de quelque façon. Toi qui es affligé(e), désespéré(e). Toi qui as mal au fond de toi-même, qui es blessé(e) par la vie, qui es dépassé(e) par les événements, qui souffres de solitude, sache qu’après chaque perte, chaque mort, il y a une résurrection. Quand une porte se ferme sur le bonheur, une autre s’ouvre. Chacun a sa place au soleil qui brille toujours derrière les nuages. Il ne tient qu’à toi d’en profiter. Le jour où tu seras capable de jouir et de t’émerveiller devant un coucher de soleil, d’écouter un oiseau chanter en oubliant tes peines, tes malheurs et tes soucis, tu auras fait un grand pas dans la vie.
La cohorte des personnes revenues à l’existence après une hécatombe est impressionnante. Des gens ruinés, voleurs, meurtriers, alcooliques, drogués, dépravés ont été transformés. Des blessés de la vie, des faibles, des gens qui ont atteint leurs bas-fonds se sont relevés et sont sortis de l’échéancier du malheur. J’en veux encore pour preuve les milliers de personnes couchées sur un lit d’hôpital, assises dans un fauteuil roulant, emmurées dans une prison, défigurées par un accident, qui ont vu un jour la lumière de leur être briller et sont parvenus à la pure allégresse d’exister. Pour en témoigner, j’ai utilisé quelques exemples de résurrection illustrant cette force étonnante de transformation quand la volonté de vivre est là. Une force qui permet de s’adapter et de survivre, même dans des situations extrêmes. Qui permet de recommencer quand l’abîme de la misère est atteint. Comment alors relever à nouveau le défi de la vie? Comment vaincre la honte qui nous assaille quand le malheur nous frappe?
Je puis témoigner personnellement que les événements de mon existence qui m’ont accablé de douleur et de souffrance, ̶̶ et je le dis en toute sincérité ̶̶ , sont de loin ceux qui m’ont permis de grandir et qui m’ont, en outre, ouvert à la transcendance, c’est-à-dire à quelque chose qui me dépasse. Chaque moment de désespoir m’a amené plus loin, me faisant don à chaque fois d’un souffle nouveau. Et j’ai alors appris comment chacune des victoires remportées sur les situations difficiles de la vie génère des bénéfices permanents. La vie est intelligente et généreuse. Ce n’est pas la vie qui nous prive de ses richesses, c’est nous qui les refusons. La vie ne reprend pas les cadeaux qu’elle nous fait.
Dans le présent volume, je propose un regard positif sur la façon de vivre les pertes de la vie et sur les ressources dont nous disposons pour les assumer. Dans cette perspective, j’essaie de parler honnêtement du malheur, en le nommant avec réalisme, c’est-à-dire sans peur et sans culpabilité. Non pas dans une perspective morbide, mais pour le décanter, voire l’exorciser. Je veux montrer comment il est possible de se dégager de l’emprise de la fatalité et de «naviguer» de telle sorte, qu’à travers les débris du destin, après chaque débâcle, puisse s’élever à nouveau le merveilleux chant de la vie…
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Vous ne savez tout le bien que vous pouvez faire…