Renouer avec Dieu

Renouer avec Dieu

PEUT-ON ALLER À DIEU SANS PASSER PAR LA RELIGION

  • Vous n’avez pas le cœur à entrer dans une église, mais vous sentez un appel à la spiritualité.

  • Vous éprouvez le besoin d’une vie moins superficielle?

  • Vous voulez combler votre «vide» intérieur?

  • Vous désirez communiquer avec le «noyau spirituel» de votre être?

  • Vous cherchez un chemin de spiritualité, sans verser dans l’illusion ?

Depuis longtemps, je rêvais de mettre à la disposition du public un petit guide de spiritualité simple et pratique, fondé sur des valeurs sûres. Un guide destiné à ceux et celles qui sentent le besoin de nourrir leur vie spirituelle, sans nécessairement passer par la religion.

(Ce livre convient aussi bien aux pratiquants qu’aux non-pratiquants).

UNE PROPOSITION DE DIEU QUI NE VOUS LAISSERA PAS INDIFFÉRENT…

Fiche technique du livre :

http://mediaspaul.ca/catalogue/renouer-avec-dieu-989

Combien aimeraient aller à Dieu dans un nouvel horizon ! Voici un livre qui présente une vision épurée, ventilée, du mystère divin. Il se situe à des kilomètres de l’approche puritaine ou janséniste de Dieu. Il vise à redonner aux gens le Dieu auquel leur âme aspire. Dieu existe-t-il ? Faut-il l’inventer ? Peut-on en douter ? Dieu est-il l’auteur de l’Univers ? Comment établir une relation personnelle avec Dieu ? Quelle est la foi qui réconcilie avec Dieu ? Qu’est-ce que la foi apporte de plus à l’être humain ? Ce livre aborde des questions que se posent l’homme et la femme d’aujourd’hui.

VOICI UNE PROPOSITION DE DIEU QUI NE VOUS LAISSERA INDIFFÉRENT…


UN LIVRE QUI S’ADRESSE AUX PRATIQUANTS COMME AUX NON PRATIQUANTS…

SI TU AS LE GOÛT d’une présentation de Dieu non moralisatrice ou dogmatique, mais THÉOLOGIQUEMENT JUSTE, lis ce livre, je pèse mes mots, tu n’en reviendras pas…!


 POUR EN SAVOIR PLUS :


VOICI QUELQUES COMMENTAIRES sur Renouer avec Dieu :

Jean-Guy Bruneau : «Renouer avec Dieu» est le livre que je recommande à tous mes amis et amies. Je l’ai lu 2 fois et j’ai souligné en jaune les passages les plus précieux. Il m’est ensuite facile de revoir rapidement les extraits qui m’ont le plus frappé. Un grand MERCI à Jean-Paul Simard.

Monsieur,
D’emblée, je vous dis que je suis sous le choc de ma lecture de Renouer avec Dieu.  Vous m’avez dit au Salon du livre que je n’allais pas le regretter, vous aviez raison.
      Vous répondez ici, dans ces pages, à un besoin immense chez moi, à mes points d’interrogation (confinant à l’obsession), à ma recherche existentielle (qui se passe à vrai dire dans un désert infini… avec un peu d’eau !).
       Le croiriez-vous ? J’ai hâte de terminer ma journée pour me payer ce luxe de vous lire une petite demi-heure le soir. C’est ma boué de sauvetage. Tellement même, M. Simard, que je n’ai pas hâte que cela finisse ! Je lis et relis les mêmes phrases, je m’en imprègne, j’y réfléchis ou je m’y berce. Je pense que cela ne m’est jamais arrivé autrement que pour un roman policier ! C’est dire que j’attends le dénouement de votre «polar» avec délectation…
       Vous voguez sûrement sur la vague du succès, et c’est plus que mérité. Le lecteur ne doit pas se tromper : il y a derrière cet ouvrage une somme colossale de travail, qui résume toute la vie d’un homme. Ce n’est pas rien !
       Votre livre comble un manque crucial dans notre société ─ Mais ça, vous le savez. Il permet aussi quelque chose à laquelle ma génération n’a pas eu droit : le droit de s’ouvrir à ces questions sans craindre de passer pour des illettrés, des illuminés ou autres. Nul doute qu’il aide des centaines de personnes en ce moment, et pas seulement moi.
       Merci pour ces 400 pages que je ressens une à une, comme si quelqu’un m’insufflait de l’air dans les poumons ou me mettrait du baume au cœur.

Judith T. (Québec)

VOICI UN APERÇU DU LIVRE :

 «Si vous avez réellement perdu Dieu, n’est-ce pas, bien plutôt, que vous ne l’avez jamais possédé?»
     Rainer Maria Rilke, Lettres à un jeune poète

                                                                   

                                                                  AVANT-PROPOS 

 Nous sommes tous concernés à divers degrés par la question de Dieu : ceux qui doutent comme ceux qui croient ou ne croient pas. Qui n’a jamais pensé à Dieu? Qui peut se vanter de posséder Dieu? Qui n’a pas crié une fois dans sa vie: «Dieu, si tu existes, manifeste-toi!»?
          Les raisons pour lesquelles on peut abandonner Dieu sont aussi variées que les consciences elles-mêmes. Beaucoup, pour quelque raison que ce soit, se sont détournés de Dieu. Leur attitude n’implique pas nécessairement sa négation, mais très souvent ils l’ont fait pour des raisons morales: le concept moralisateur de Dieu était devenu trop gênant, brimant leur liberté et les empêchant de vivre. D’autres retardent l’échéance de leur rencontre avec Dieu, parce que pour diverses raisons «leur heure n’est pas encore venue». Pour certains, sous l’effet d’une sorte d’engourdissement de l’âme, Dieu n’apparaît plus nécessaire. Par ailleurs, on peut vouloir passer d’une foi héritée à une foi assumée personnellement. Dans ce cas, on préfère établir ses propres rapports avec Dieu, sans passer nécessairement par la religion. Le choix de la pratique individuelle plutôt que collective ou communautaire est d’ailleurs un phénomène caractéristique de notre époque.
          Et puis, il y a la génération Y. Toute une génération, pour ne pas dire deux, ont présentement grandi en dehors des traditions chrétiennes et possèdent peu ou pas de références sur Dieu et la religion. Les parents de la génération Y  ̶   ceux de la génération ̶  ont pour la plupart décroché de la pratique religieuse. Les jeunes de cette génération et leurs parents n’ont aucune idée de ce que représente la chrétienté. Quand ils en entendent parler par leurs parents ou leurs grands-parents, c’est souvent en termes négatifs, comme une sorte d’épouvantail, quelque chose de terriblement brimant. Les images du panorama chrétien représentant une église avec ses rassemblements communautaire est pour eux de l’histoire ancienne, pour ne pas dire du folklore. La pratique religieuse actuelle n’est qu’un simple élément de la vie sociale parmi d’autres.
          Pourtant la mise de Dieu entre parenthèses n’équivaut pas pour autant à une disparition du besoin religieux. Ce besoin, comme l’a montré Carl Jung, est quelque chose d’inné, un «archétype» de la personne. C’est ce qui explique pourquoi la soif religieuse n’a pas diminué. Beaucoup de ceux qui vivent en dehors de la religion cherchent consciemment ou inconsciemment des voies d’expression de ce besoin. Et lorsqu’ils n’en trouvent pas ou que ce besoin demeure trop longtemps étouffé ou mis en veilleuse, il se produit ce qu’on appelle des «maladies de l’âme» qui prennent tour à tour le visage du «vide existentiel», de la névrose de sens, de la dépression, etc.
          Ce livre s’adresse aussi à ceux qui croient posséder Dieu, mais ne le possèdent pas vraiment. On peut vivre des années avec Dieu sans réellement le rencontrer. Pour plusieurs, Dieu et la religion ne sont que des noms d’apparat et le fait d’aller aux offices religieux ne sont en soi qu’une étiquette. À cet égard, beaucoup entretiennent des relations publiques avec le Tout-puissant, mais rien dans le cœur. Or, le fait d’appartenir à une Église ne produit pas plus un croyant que le fait de posséder un piano dans une maison ne consacre musicien.
          Poussons plus loin encore notre raisonnement : un théologien peut étudier Dieu toute sa vie sans jamais le rencontrer. L’étude de Dieu en principe ne requiert aucunement la croyance en lui. C’est ce qu’on appelle le théisme, c’est-à-dire le Dieu des philosophes, pur objet de connaissance et d’analyse. Il en résulte qu’on peut se farcir d’idées sur Dieu, mais cela ne vaut pas une once d’amour de Dieu.
          Enfin, sur un autre plan, combien de personnes croyantes désireraient partager leur foi avec des non croyants mais n’ont pas les mots pour le faire. Elles voudraient bien proposer Dieu, mais comment dire? Voici un discours sur Dieu qui n’a rien de dogmatique ou de moralisateur. Il tient compte des options de ceux qui ne croient pas, lesquels ont aussi de solides raisons de ne pas croire.
          Il est possible que pour beaucoup de personnes, la religion ou la vie leur a fait perdre la foi. Elles sentent bien pourtant que Dieu existe. Mais pendant des années elles n’ont porté aucun regard sur lui. Et puis, tout à coup, de manière imprévue, à la faveur d’un d’évènement important, elles découvrent que Dieu peut avoir une signification; qu’il peut représenter une forme de consolation et de remède à une souffrance, à une maladie, à une épreuve.
          Peu importe les raisons qui ont pu éloigner de Dieu, le retour dépend toujours d’un choix personnel. Aussi, dans le présent volume, je ne cherche aucunement à convaincre. Je ne nourris aucune intention apologétique. Je n’ai rien de la colombe salvatrice planant au-dessus de l’arche de Noé. Je me contente d’exposer un certain nombre de faits sur Dieu, espérant simplement que le lecteur écoutera mes propos, tout en sachant qu’écouter n’est pas nécessairement croire. Il s’agit d’une proposition honnête de Dieu, sans plus. Aussi, après la lecture de ce livre, je ne m’attends pas à ce que quelqu’un me dise: «Vous m’avez convaincu!» Je sais bien, à la suite de Pascal, qu’«on se persuade mieux pour l’ordinaire par les raisons qu’on a soi-même trouvées.» Au lecteur de prendre sa décision.
          Sur un autre plan, je nourris l’intention de présenter l’essentiel du contenu de la foi en Dieu aux générations qui n’ont aucune culture religieuse ou qui n’ont pas bénéficié à l’école de catéchèse ou de cours d’éducation religieuse. Et cela, je veux le faire avec des mots non théologiques puisés dans l’expérience de la vie quotidienne. Je veux le faire avec les accents du cœur qui parle de Dieu au cœur.
   […]


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